D'abord une longue et agréable soirée cuivrée pour attendre Richard
Galliano :
en particulier Ferdinand Doumerc et le Sale Steak Sextet
L’attente c’est l’impatience, et aussi la curiosité : un
Big band ( assez Big) et Galliano? , nous ne connaissons que ten years ago avec le
Brussels Jazz Orchestra, en enregistrement, que nous écoutons souvent, et que apprécions particulièrement pour les couleurs
de son jazz , mais jusqu’ici pas Big Band 31 …
Et voilà Richard , entouré de la brassée éclatante des cuivres , en solos, ou
en solos partagés, trompettes, saxos, trombones …Sa ligne musicale maintient sa force et sa
délicatesse, sur ce que Michel a appelé, si justement je trouve, « la déferlante des cuivres »…
Superbe et puissante, la déferlante …
Tenace et mélodiquement dominateur, Richard Galliano assure,
impose le son de son Victoria et la magie des mélodies familières…
Familières, certes, mais Michangelo prend pour notre plaisir
un rythme surprenant, et une coloration
différente. Coloriage un relief remarquable . Tango pour Claude ouvre la
soirée avec un brio préparant le contraste avec l’humeur rêveuse et
nostalgique de ten years ago, ou tendre
de Giselle…
Michel vous dira tout du reste….et combien nous étions encore une fois subjugués et saisis d’émotion de partager ce bonheur avec nos deux petites….
ten years ago, Brussels jazz Orchestra
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