Un jour plus ensoleillé qu’aujourd’hui, j’ai comparé mes chemins de culture aux « holzweg » , « ces chemins de forêts qui (prétendument) ne mènent nulle part », et affirmé que, s’il ne menaient pas à Rome, ces chemins sablonneux délicieux qui divaguaient entre pins, bruyères et genêts, dérivaient souvent vers d’autres chemins, et cheminaient vers d’autres découvertes…
Mais ce soir je pense aussi que parfois il y a dans notre vie des chemins sans issue, qui s’embroussaillent dans l’enchevêtrement du bois tombé et des fougères froissées .
Des apories, des impasses, des culs de sac…des chemins de Petit Poucet… !
Faut retrouver nos cailloux blancs !!!!
Ou un petit joueur d’harmonica, non , de fisarmonica !!! qui nous chantera le chemin…
1 commentaire:
Et tu l'as trouvé ton petit joueur? Mélancolie quand tu nous tiens..
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