Le nouveau CD du groupe Soledad « Soledad plays Soledad » est donc sorti.
Comme il est dit dans le livret
c’est le disque dont ils rêvaient pour lequel ils ont créé leur propre musique et
leur propre label .
Michel a essayé d’analyser ses
impressions premières, que je trouve si pertinentes que je me contenterais de vous
les citer… :
" Trois termes
s'imposent ainsi à moi : flamboyant, puzzle et complexité. Je les trouve justes
et pertinents. Ils expriment en effet la flamboyance de la musique de Soledad,
cette sorte d'explosion sonore en quoi consiste chaque morceau ; mais aussi ils
traduisent ce sentiment que l'on a affaire à une musique très écrite, très composée,"…lire la
suite dans :
Pour moi je ne saurais exprimer justement une impression d’ensemble du disque
que j’écoute avec une obstination qui n’a d’égal que le plaisir de découvrir puis
de réécouter d’un morceau l’autre, et le
désir de comprendre pourquoi je le trouve si semblable et si différent du précédent, peut-être
plus « résistant » à l’écoute, mais toujours aussi riche d’émotions …
Alors, Face Bookienne un tantinet « accro » , je vais me contenter de
cliquer sur J’AIME :
J’aime la diversité
des styles dans l’unité de l’ensemble, comme si chaque morceau me semblait porter la marque de son auteur qui
souvent l’introduit et l’ouvre pour les
autres instruments :
En particulier, j’aime le piano d’Alex Gurning dans Rebound,
J’aime
le violon de Jean Frédéric Molard dans Victor
Le bandonéon de Manu Comté dans le
superbe Homilia….
J’aime les percus
partout, la dimension nouvelle qu’elles introduisent particulièrement dans
Frevo (un thème que nous connaissions et adorons !) et dans Moonmist
J’aime le son du bandonéon
de Manu Comté, partout, mais particulièrement
dans Eden et Victor
D’ailleurs J’aime tout dans Eden , sa mélodie, les interventions
des percus et du piano…
Dans Homilia, la mélodie , la couleur mélancolique et prenante , la
composition où chaque instrument trouve à se manifester tout en étant soutenu par
les autres..Et où passe une « pulsacion » de tango…
Dans Victor, beau et triste aussi, comme
un Piazzolla d’hiver, une émotion prenante ,
l’entrée des autres après le violon et la légèreté des notes égrenées
par tous, avant la montée et l’explosion du presque -final qui retombe ensuite délicieusement….
Enfin J’aime ( je l’aimais déjà
avant !!!) toujours et tout particulièrement Moonmist, son titre poétique , son superbe thème, et les interventions de
tous les instruments dans une combinatoire foisonnante et toutefois équilibrée ,
voire harmonieusement composée…
J’aime aussi la
pochette, la photo, même si, ou parce que, le sens m’en échappe un peu..
(Ça déchire !)
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