lundi 1 octobre 2012

Manu Comté joue Soledad…j’aime !




Le nouveau CD du groupe  Soledad « Soledad plays  Soledad » est donc sorti.
Comme il est dit dans le livret c’est le disque dont ils rêvaient pour lequel ils ont créé leur propre musique et leur propre label .
Michel a essayé d’analyser ses impressions premières, que je trouve si pertinentes que je me contenterais de vous les citer… :

Trois termes s'imposent ainsi à moi : flamboyant, puzzle et complexité. Je les trouve justes et pertinents. Ils expriment en effet la flamboyance de la musique de Soledad, cette sorte d'explosion sonore en quoi consiste chaque morceau ; mais aussi ils traduisent ce sentiment que l'on a affaire à une musique très écrite, très composée,"…lire la suite dans :



Pour moi je ne saurais exprimer  justement une impression d’ensemble du disque que j’écoute avec une obstination qui n’a d’égal que le plaisir de découvrir puis de réécouter  d’un morceau l’autre, et le désir de comprendre pourquoi je le trouve si semblable  et si différent du précédent, peut-être plus  « résistant »  à l’écoute, mais  toujours aussi riche d’émotions …
Alors, Face Bookienne un tantinet  « accro » , je vais me contenter de cliquer sur J’AIME :

J’aime la diversité des styles dans l’unité de l’ensemble, comme si chaque morceau me semblait  porter la marque de son auteur qui souvent  l’introduit et l’ouvre pour les autres instruments :
En particulier, j’aime le piano d’Alex Gurning dans Rebound,
J’aime le violon de Jean Frédéric Molard dans Victor
Le bandonéon de Manu Comté dans le superbe Homilia….

J’aime les percus partout, la dimension nouvelle qu’elles introduisent particulièrement dans Frevo (un thème que nous connaissions et adorons !) et dans Moonmist

J’aime le son du bandonéon de Manu Comté, partout, mais  particulièrement dans Eden  et Victor
D’ailleurs J’aime tout dans  Eden , sa mélodie, les interventions des percus et du piano…
Dans Homilia, la mélodie ,   la couleur mélancolique et prenante , la composition où chaque instrument trouve à se manifester tout en étant soutenu par les autres..Et où passe une « pulsacion » de tango…
Dans Victor, beau et triste aussi, comme un Piazzolla d’hiver, une émotion prenante ,  l’entrée des autres après le violon et la légèreté des notes égrenées par tous, avant la montée et l’explosion du presque -final qui retombe ensuite délicieusement….

Enfin J’aime ( je l’aimais déjà avant !!!) toujours et tout particulièrement  Moonmist, son titre poétique   , son superbe thème, et les interventions de tous les instruments dans une combinatoire foisonnante et toutefois équilibrée , voire harmonieusement composée…

J’aime aussi la pochette, la photo, même  si,  ou parce que, le sens m’en échappe un peu..
(Ça déchire !)


Et enfin   par dessus tout, Nous aimerions  bien entendre et voir les Soledad jouer Soledad en concert !!!



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