« Jeune compositeur reconnu pour le cinéma notamment, le
guitariste Samuel Strouk navigue
depuis des années entre musique écrite et fonctionnelle, relations épisodiques
avec le jazz et attirance forte pour l’Europe Centrale, particulièrement les
traditions yiddish. A ce titre, son nom n’est pas inconnu des lecteurs de
Citizen Jazz, puisqu’on l’avait découvert dans le magnifique Estde François Salque et Vincent Peirani pour
un titre de son cru, justement appelé « Yiddish » où on le retrouvait
à la guitare, d’obédience classique, davantage harmonique que rythmique. »
par Franpi Barriaux.
Et...je
découvre !
EST
de Vincent Peirani et François Salque, nous l’avions découvert en suivant
Vincent, et découvert aussi en direct François Salque…merveille !
Mais nous n’avions pas noté la présence de Samuel
Strouk , ni d’ailleurs celle de Jocelyn Menniel !
Depuis,
Jocelyn Menniel, nous l’avons découvert en assistant par hasard en seconde partie de Pulcinella, dans le Mechanics
de Sylvain Rifflet !
Quant
à Samuel Strouk, par sa collaboration au
Piazzolla de Daniel mille , je connaissais son nom ! Vincent d’ailleurs, m’avait signalé quand j’ai fait un post sur
Cierra tus ojos que j’avais négligé de le citer, pour ses arrangements et sa
direction musicale ! Et ! Vincent Peirani, Daniel mille, pour nous ce
sont des Grands, et des références incontestées …
Puis
cet hiver est sorti Silent Walk ! Alors là il n’y a ni références ni
participation aux arrangements qui comptent, c’est le choc de Sa musique, la
guitare certes, mais les mélodies, la construction du projet de musique, l’orchestration !
Tout !
J’ai adoré, connoté, divagué à son écoute !
Et
toujours je cherche un live… (à moins de 400 km !)
J’ai donc redécouvert, écouté, réécouté Yiddish !!!Les
rencontres, ainsi je l’éprouve en littérature aussi, c’est magique, et toujours hasardeux, comme les
hasards de la vie !
Voilà Yiddish :
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